Laborgerätschaften


Polarimeter (1)

Urinzucker-Messgerät n. BIOT, Fa. HELLIGE 

"BIOT (1774-1862), professor of physics at the College de France and pioneer of polarimetry. Using a polarimeter (an instrument which measures the angle of rotation of a polarised plane of a beam of light when it passes through an optically active substance), Biot established the fundamental laws of the rotation of light polarisation by such optically active substances. He contributed to the recognition of the existence of a relationship between substances’ optical activity and their molecular structure. This led to the development of a whole new group of scientific instruments, including the diabetometer, which is used to measure the sugar content in diabetics’ urine".
"Jean-Baptiste BIOT, physicien français né à Paris le 21 avril 1774 et mort dans cette même ville le 3 février 1862. Il fait ses études au lycée Louis-le-Grand avant de rentrer en 1793 à l'Ecole Polytechnique. Il est tout d'abord assistant de Laplace, puis un mémoire présenté à l'Institut lui vaut, à l'age de 26 ans, la chaire de physique mathématique au Collège de France en 1800 et une admission à l'Académie des Sciences en 1803. Il prend part à l'ascension en ballon de Gay-Lussac en 1804 pour étudier les variations du magnétisme terrestre et des caractéristiques de l'atmosphère jusqu'à une altitude de plus de 4 000 m. Membre de l'Observatoire et astronome adjoint au Bureau des longitudes, il poursuit en Espagne, avec le jeune Arago, la triangulation de la méridienne en 1806, interrompue en 1804 par la mort de l'astronome Pierre Méchian. En 1808, il détermine la longueur du pendule de référence de Bordeaux qui bat la seconde. Professeur d'astronomie physique de 1809 à 1816 puis en 1826 à la Sorbonne, membre de la Royal Society de Londres en 1815, il découvre le pouvoir rotatoire moléculaire de certaines substances. Nommé au conseil de perfectionnement de l'Ecole polytechnique de 1816 à 1821, il est doyen de la Sorbonne de 1840 à 1849, membre libre de l'Académie des inscriptions en 1841 pour ses travaux sur l'astronomie des Egyptiens, puis de l'Académie française en 1856. Il travaille sur l'origine des météorites, le magnétisme terrestre, la lumière polarisée, invente le saccharimètre, et fonde avec Félix SAVART (1791-1841) une loi sur les interactions entre aimants et courants. Élu en 1856 au fauteuil 12 de l’Académie française. Physicien, mathématicien, astronome, chimiste, directeur du Journal des Savants, collaborateur à la Biographie universelle, professeur de physique générale et de mathématiques au Collège de France et à la Faculté des Sciences. Associé non résident 1ère classe le 25 mai 1800 et de la 1ère classe en 1803, il fut reçu à l'Académie des Sciences en 1808 et à celle des Inscriptions. Âgé de 82 ans, il était le doyen de tout l'Institut lorsqu'il fut élu à l'Académie française le 10 avril 1856, en remplacement de Charles Lacretelle jeune ; c'est l'académicien élu à l'âge le plus avancé ; il fut reçu par François Guizot le 5 février 1857. Il a laissé de nombreux ouvrages et des mémoires scientifiques. Deux Nouveaux Lundis de Sainte-Beuve".
Quelle : Le Dictionnaire des Inventeurs et des Inventions - LAROUSSE.

Zur Fa. HELLIGE
1896 gegründetes Freiburger Traditionshaus… Im 2. WK Beschäftigung bei Hellige & Co., Apparatebau von ZwangsarbeiterInnen. Nach dem Krieg nennt sich die Firma „Fritz HELLIGE“. 2001 Übernahme: der Firmenverbund aus der MSC Vertriebs GmbH und der Gleichmann Electronics GmbH hatte sich ab 1979 eine glänzende Markposition im Segment elektronische Bauelemente erarbeitet. Das Erfolgsrezept der Firmengruppe MSC/Gleichmann ist die Kombination von klassischer Distribution mit Entwicklungs- und Produktionsdienstleistungen. Die Idee, den Distributionsgedanken nicht nur auf einen bloßen Handel mit aktiven Bauelementen zu beschränken, sondern weiter zu fassen, hat synergetische Kräfte freigesetzt, die das Unternehmen auf Platz 5 im Ranking der Top 10 der deutschen Distributoren geführt haben. Der im nordbadischen Stutensee angesiedelte High-tech-Distributor hat Ende der 80er Jahre begonnen, einen eigenen technischen Bereich aufzubauen, dessen Aufgabe es auch heute noch ist, durch Entwicklungs- und Produktionskapazitäten den Verkauf von High-tech-Komponenten zu fördern. Den Rückschluss, dass dieser Bereich einen wesentlichen Anteil zum jährlichen Umsatz (2000: 600 Mio. Mark) beiträgt, lässt die Mitarbeiterstruktur zu: Immerhin sind 70 der 600 Beschäftigten Entwicklungsingenieure, weitere 100 Mitarbeiter sind Produktionsfachkräfte. Angefangen hat alles damit, dass MSC vor gut 12 Jahren die Speicherbauelemente nicht mehr nur lose, sondern in Form von Modulen verkaufte, die selbst entwickelt und produziert wurden – kundenspezifisch zwar, aus Kundensicht dennoch wie von der Stange. Seit diesem Zeitpunkt baute das Unternehmen diesen Bereich kontinuierlich aus. Eine Entwicklungsgruppe nach der anderen wurde geschaffen, Produktionslinien aufgebaut. Den technischen Bereich des Unternehmens bilden die Entwicklungszentren in Stutensee, Aachen und Neufahrn bei München sowie mehrere Produktionslinien am Standort Stutensee, an denen Flachbaugruppen und Speichermodule entwickelt und produziert werden. Daneben ist das Unternehmen in Schottland und Malta mit Produktionsstätten vertreten. Durch die jüngste Übernahme der ehemaligen Hellige-Marquette-Produktion in Freiburg ist das Ziel, auch System-Produktions-dienstleistung mit anbieten zu können, ein entscheidendes Stück näher gerückt (Internet 2001). Mit der Übernahme von HELLIGE entstand die am 1. Januar 2002 ins Leben gerufenen MSC Freiburg GmbH.